J’en profite pour faire une déclaration.

A vous auditeurs fidèles, ou de passage. A vous qui ne craignez pas les délires hasardeux de la création radiophonique.
A vous tous zé à toutes ! Je déclare ceci.
Il n’est pas question pour moi de quémander une quelconque indulgence ni de céder devant les menaces de vous désabonner de la news lettre hebdomadaire de Culture 5, alors que c’est gratuit.
A ce propos, je veux bien fréquenter la supérette du coin mais de là à prendre la route de Canossa ! Ça jamais !
Noooon, rien de rien ! Noooon je ne regrette rien !
Et je ne m’abaisserai pas pour me justifier devant le diktat de l’opinion publique dont les errances approximatives ont - il faut le dire - autant d’adhérence sur le Web qu’une flatulence sur la Toile, même cirée.
Alors, à vous auditeurs fidèles ou de passage. A vous qui ne craignez pas les délires hasardeux etc.
A vous tous zé à toutes, je ne vous direz rien, quitte à avancer masqué sur les chemins de l’orthodoxie déviante. Rien. Ni où ni avec qui j’ai passé le réveillon du Nouvel An. J’ai pas envie de me faire engueuler par l’équipe des chroniqueurs qui n’attend qu’une occasion pour prendre ma place.
La preuve, comme dirait Jupiter au parlement européen à l’endroit d’un apprenti dictateur :
« ce n’est pas en disant méthodiquement n’importe quoi qu’on finit par dire des vérités ! »
Et ça, fallait le dire !